Film-vie

Autre­fois, l’avenir des sociétés s’écrivait selon l’or­dre des actes et de la pen­sée, cha­cun don­nant un peu de soi; aujour­d’hui, des scé­nar­istes four­nissent leur copie qui est dif­fusée et reprise par l’in­di­vidu égaré, sans foi ni valeurs, chaque jour moins capa­ble d’én­ergie vivante, lequel choisit un rôle par­mi ceux qui sont offerts.