Misère politique

Dans le pro­jet d’abo­li­tion des peu­ples, le négroïde importé sur nos ter­ri­toires fig­ure au rang des out­ils émérites. Coupé de sa cul­ture par la coloni­sa­tion, con­traint après indépen­dance par des auto­crates fan­toches, s’il n’a eu accès ni à la notion d’in­di­vidu ni à celle de démoc­ra­tie, il adhère comme l’en­fant au régime com­pul­sif de la con­som­ma­tion-pro­duc­tion. Désor­mais jeté dans nos rues, haut en couleur et vol­u­bile, il appa­raît infin­i­ment corvéable, por­tant sans hésiter les slo­gans de fab­rique que créent à son inten­tion les académi­ciens blancs d’Amérique. Dès lors, inutile de s’é­ton­ner de ce régime de puni­tion de la parole qui s’in­stalle dans tout l’Oc­ci­dent. Cri­ti­quer l’ob­scu­ran­tisme con­géni­tal d’un mahomé­tan ou l’id­i­otie pro­fonde d’un négroïde, revient à atta­quer frontale­ment le pro­jet des pouvoirs.