Merde sociale

Au pays de France, gilets jaunes plom­bés, matraqués, énu­cléés. Au pays de Suisse, prim­i­tifs musul­mans coop­tés au statut de citoyens par la ver­tu du don de passe­port dont les plus émi­nents, cou­verts pour vio­lences sex­uelles envers nos nubiles par un habile tra­vail d’escamo­tage de l’E­tat. Dernières manoeu­vres en date dans ce domaine de l’ob­scur, l’E­tat de Genève et son chef de l’é­d­u­ca­tion (une femme). Trop longue la liste d’ailleurs, pas mon tra­vail, sinon de soutenir le dégoût absolu des gens de bien face à la démi­si­son ordurière… Mais ce n’est pas ce que je voulais ici établir au présent — je me suis lais­sé emporté par mon peu de goût pour la pente générale de notre société et sa veu­lerie de salon. Ceci donc : après la lev­ée de l’E­tat d’ur­gence, courageux Muni­chois, Berli­nois ou Bernois (gauchistes, droitistes con­fon­dus) con­tre la vac­ci­na­tion total­i­taire, la suror­gan­i­sa­tion du corps et le traçage intrusif. Prostes­ta­tions de rue aus­sitôt réprimées et dis­per­sées, puis évac­uées par les paniers à salade. Alors que ce jour, dans nos villes, agroupe­ment d’an­tiracistes — en par­tie le per­son­nel d’im­por­ta­tion qui milite pour son droit par­a­sitaire — au nom d’une mal­heureuse vic­time améri­caine de la bru­tal­ité poli­cière améri­caine — je pré­cise, je déteste la police. Et quoi, dirons-nous ? Vox guber­na­men­tal­is: “il est vrai, dix­it, qu’ils ne respectent pas, ‘hélas’, les dis­tances san­i­taires”. Réac­tion d’endigue­ment? Flics de bar­rage? Rien. Com­plai­sance. Sous les ordres, la force en uni­forme regarde défil­er. Même, elle salue le paci­fisme. Car la cause est bonne. CQFD. C’est à dire utile aux vam­pires mon­di­al­istes. Mes­sage des souter­rains aux dupes: “faux amis, traîtres véri­ta­bles, vous tous, esclaves de nos pays d’Oc­ci­dent, con­tin­uez de scan­der les mots d’or­dre de l’oli­garchie: à force de défendre de faux esclaves, nous finirons par pren­dre leur place !”