M’apparaît ceci: je suis heureux de faire ce que je fais, de devenir ce que je suis, d’essayer d’allonger, encore un peu, mes compétences, je lutterai donc pour qu’on ne me prive pas de mon état. En même temps, je me réjouis de faire d’autres choses, transversales, de l’ordre du sport, du vagabondage, de la beuverie ou de la recherche érudite, et participer à l’effort collectif m’intéresse peu, non que je n’y souscrive pas moralement, mais parce que j’ai la conviction que le collectif est aujourd’hui un prétexte au non-collectif.