Sur le mode mineur, mais en fanfare, les associations européennes de patrons annoncent ces jours qu’il va falloir travailler plus (vous, moi, nous tous). Facile à comprendre: défaut de richesse, donc travail. Mais la donne est toute autre dans un système complexe confronté à l’effondrement. Les individus sans argent sont utilement conviés, au nom de l’humanité, à rembourser les investissements monétaires destructeurs des vampires capitalistes (trente ans de mise sous pression du peuple).