Vérifier dans le miroir ce que l’on devient, informe et laid, provoque un double mouvement de dégoût et d’ascèce, mais le plus immédiat demeure la satisfaction d’accepter, par principe, que la nature grave la peau et corrompe visuellement les organes, toute autre réaction témoignant de l’insécurité de l’être, lequel se doit — je pense — de s’arroger un destin supérieur aux contingences.