“Plop! Plop!”. Au milieu de la nuit, dans un noir épais,voulu par Gala qui tire les stores dont elle serre ensuite les lamelles, je capte ce son et aussitôt, dans le demi-sommeil, engage la conversation avec Monfrère:
-Fais quelque chose! Encore une idée de squatters, jouer en pleine nuit au tennis… Allez, lève-toi! C’est ton tour! Dis à ce mec d’aller se coucher. Oh, tu entends! Parle-lui par la fenêtre, qu’il se recouche, merde!
Or, c’est Gala, allongée à mon côté dont le souffle expirant est ainsi ponctué : “plop…! plop…!”.