De la servitude volontaire… A la mort de Godin (le marchand de poêles socialiste), le familistère de Guise continue quelques années de vivre selon les règles de l’anarchisme communautaire, puis des réformes commencent de modifier le lieu de vie (contrôle accru sur la cour et les jeux d’enfants, fermeture des passages-galeries, etc.). Bientôt, l’association des locataires cède: l’espace est privatisé et vendu par tranches, les jardins et le théâtre sont désactivés. Ainsi l’héritage est déshonoré par ceux qu’il a honoré.