Proudhon…

…a la vision d’un “univers desséché où vivraient des auto­mates per­fec­tion­nés, et d’une exis­tence pleine jusqu’au bord de délices, mais dont l’arid­ité ne lais­serait plus de place à ces sen­ti­ments, par­mi lesquels notre effort est de faire sor­tir, comme une plante de sa tige, la char­ité de la jus­tice.” (1855).