Ma maison a tous les avantages. Modeste, peu dégagée, elle est sans ouvertures ni ornements. De plus, elle est inscrite dans une rue secondaire et enfouie entre les montagnes. Tout va bien. Cependant, j’ai un problème. La nuit, elle se transforme en sous-marin acoustique. Comme un cerveau en surtension, elle respire et souffle d’un radiateur à l’autre des litres d’eau qui transforment le volume d’habitation en une expédition de Jules Verne à travers les Océans.