Faux combat

Les femmes libérées qui récla­ment la lib­erté sont celles qui n’ont que ça, la récla­ma­tion. Les autres ont un amant, un mari, une famille. Dis­qual­i­fiées dans la course au bon­heur, cette minorité espère impos­er à toutes les femmes son échec. Les misog­y­nes, de même. Jus­ti­fi­ant leur choix, ils croient se par­er de ver­tu; la plu­part ne râle con­tre la femme que par dépit.