Henri

Mon­ther­lant pro­duit de la lit­téra­ture avec de la pen­sée, d’où ce côté quelque peu austère, à rebours de l’ap­proche générale des écrivains qui con­siste à pro­duire de la lit­téra­ture avec des mots, aban­don­nant sans état d’âme la pen­sée à elle-même.