Monts et vaux

L’enchevêtrement de la nature et des hommes, des routes et des collines, du ciel et des maisons qui oblige à se déplac­er dans les prox­im­ités de Flo­rence en pas­sant d’une niche à l’autre, cette absence de per­spec­tive, pro­duit pos­i­tive­ment une sorte d’in­sou­ciance. Dès lors qu’on ne voit pas venir, on ne s’oc­cupe plus de voir venir.