Pour notre civilisation, notre culture, et l’art tout entier, j’ai trop d’admiration et de conscience de l’effort consenti pour ne pas aimer qu’on le réduise à ces sanctuaires marchands les musées. Surtout quand, dans le même temps, le lieu véritable de la culture, le creuset de la civilisation, le motif entier de l’art, nos rues, se peuplent de ces figures du nouveau primitivisme que sont les hommes de marché (occidentaux dégénérés) et les hommes du culte (orientaux abrutis).