Que nous tous, le peuple, attaque les banques, coupe les centrales de gestion, brûle les bâtiments, vilipende les bureaux de ponction, puis la prime colère apaisée, pèche à domicile les banquiers pour les punir. Le châtiment: les mettre au travail. Par l’effort, comme ils ont mis, hors conscience, le peuple au travail, afin de l’ usurper. Je ne ne dis pas que je suis contre les banques. Il en fallait, il en faudra. Le système doit être reconstruit dans les limites d’une prédation acceptée par les cotisants. Sans l’octroi de garanties émanant de l’Etat, sans le recours ponctuel, arbitraire, aux moyens de la violence légale.