L’informatique est un puissant facteur de concentration du capital. Nul ou presque ne parle ce langage, alors que l’ensemble de l’humanité y a recours. La conséquence du déséquilibre massif entre l’offre et la demande est facile à déduire: le progrès est exponentiel et de moins en moins partagé, de sorte que toute idée de démocratie relève d’ores et déjà de l’histoire des idées.