Comme je regardais hier Death race: beyond anarchy, ou tentais de le faire, car malgré ma résignation heureuse à ce choix d’un film pour idiots, je ne résistais pas plus de dix minutes, je me demandais: à quelle fin tourne-t-on deux heures d’images qui ne sont que vulgarité, sang, violence, insultes et bêtise? L’argent, soit! Mais ce miroir tendu à ceux qui voudront bien s’y reconnaître ne comporte-t-il pas une facture sociale qui dépasse de loin la recette du film?