Tôt ou tard ce constat, soyons honnête, faute de génie, pour moi tard, bien tard, qu’il n’y a rien à dire, mais qu’il ne fut possible de le savoir qu’en disant et redisant, puisque c’est par la saturation des paroles dites, des pensées faites, des réflexions conduites, par leur poids accumulé, que l’on se décharge enfin et constate.