Longue vie 2

Me tra­vaille aus­si l’idée d’un départ qui serait un arrache­ment heureux, toutes cir­con­stances habituelles mis­es de côté, de ces départs intem­pes­tifs pour des lieux sans attach­es (la légèreté ain­si acquise ayant pour fatale con­trepar­tie une appro­fondisse­ment de la solitude).