Si on osait? Dieu soit loué, ou plutôt, louons je ne sais quoi (louer quelque chose, il le faut bien, quand ce qui empêche le désastre est plus qu’humain), il n’en va pas ainsi! Rares, ceux qui osent. Bien, les cris d’attaque des jeunes! Mais ce sont des cris, ce n’est pas de l’attaque, ce sont des excuses, rien que des excuses et des immobilités prochaines. Oserait-on, qu’il n’y aurait en lieu et place des grandes niches que l’on organise à la surface de la terre que des ruines en voie de dispersion. Alors, peut-être, aurions-nous fait acte momentané de suprématie.