Ce que j’aime dans la militarisation du corps, c’est le contraire de l’ordre imposé et de l’esprit de troupe, principes qui aboutissent à l’arme collective des unités vivantes; ce que j’aime, c’est l’anarchie poussée au plus haut degré de son expression individuelle, la possibilité pour celui qui a consenti les efforts nécessaires à la construction de la personne de déployer sa force hors toute limite circonscrite par l’imagination moyenne qui fonde la société.