Monami m’attend à l’aéroport. J’y vais en voiture, seulement je ne puis aller à bout de trajectoire: le parking est sous-dimensionné. Cinq étages, des milliers de places, et des rampes d’accès en colimaçon, des passages bas, des portiques étroits. Si elle bloque, la voiture devra être évacuée par une grue. Je la dépose à un kilomètre de la tour de contrôle, dans un garage de plain-pied, signe un registre, tend la clef de contact au préposé. Il la gare et appelle un bus. Celui-ci me conduit devant la halle des arrivées, s’en retourne. Je trouve Monami, je rappelle le garage. Le bus revient, nous emmène. Le préposé sort ma voiture du garage, la tourne et la présente. Je paie et je reprends l’autoroute.