Atelier

Pein­tre, il l’é­tait d’un seul tableau. Un paysage acheté au puces de Saint-Ouen, un tra­vail d’a­ma­teur, “le print­emps”. Dans sa cham­bre en mansarde, à la sor­tie de l’ate­lier, il l’adap­tait aux saisons, peignant et repeignant la colline et les champs qui la bor­daient, y met­tant selon de la neige, de l’herbe verte, du soleil, des pénom­bres ou des feuilles tombées.