Plus un jour sans qu’apparaissent, recyclées sous des dénominations neuves et prétendument au service de la démocratie, des méthodes de gouvernement empruntées à l’Union soviétique de la dernière période, celle des technocrates. La question étant: pourquoi maintenant, trente-cinq ans après le règne d’un Andropov? Existe-t-il aujourd’hui un “momentum” qui garantit la réussite de cette entreprise liberticide?