Travail

Le pro­prié­taire, tan­tôt, à l’a­gence, en con­ver­sa­tion avec son fac­to­tum. J’en­tre, il me reçoit avec un grand sourire:
-Alexan­dre! Tu es bien ren­tré? Je vais te ren­dre tes clefs.
-Mer­ci d’avoir soigné mes plantes Paco… je t’ap­porte une bouteille. Il faut dire que je tiens beau­coup à mon pin.
Alors, l’air inqui­et:
- Je t’en prie! Mais… tu n’as besoin de rien? Je dis ça parce qu’on ne tra­vaille pas. On est là par hasard.