Travail

Après quelques jours de repos, je suis de retour sur la ma table de pique-nique devant la mer. Lumière étale, hori­zon bleu, falais­es, eau. Sen­sa­tion bien agréable de vide. Lorsqu’un cri reten­tit, c’est un per­ro­quet qui vole au devant du palmi­er où il niche, un chien qu’ap­pelle son maître, un enfant. Le man­u­scrit divisé en dix cahiers de dix pages, je me mets aux cor­rec­tions. Deux semaines de tra­vail, songé-je opti­miste. A l’heure où je remonte manger des spaghet­tis, j’ai réécrit deux para­graphes. Ils seront à reprendre.