Gala répute aberrante ma position de croyance. De famille italienne, d’ascendance catholique, elle ne peut envisager d’acte de foi sans un Dieu, plus encore s’il est révélé. L’idée que la foi crée son objet lui semble absurde. Contre les formules traditionnelles, philosophique et religieuse, “credo deus esse” et “credo in deum”, j’adhère à celle-ci: “Credo. Ergo deus.”