Presse

Si la presse quo­ti­di­enne relayait la moitié des faits divers liés à l’im­mi­gra­tion, la société serait déjà entrée en guerre civile. D’où l’im­por­tance de réduire autant que faire se peut la main­mise de cette presse sur les con­sciences. D’ailleurs, si ces organes défenseurs du libéral­isme de marché  liaient leur exis­tence aux règles de l’of­fre et de la demande, ils disparaîtraient.