Ciel andalou

Couché sur le toi, je regarde le ciel. La mer, c’est encore trop matériel. Et puis il faudrait se tenir debout. Éton­nante pro­fondeur du ciel. Il ne com­mence ni ne finit. Où que je regarde pas une touche de blanc. Limpi­de, sec, immense. Un vide rassurant.