Population nocturne


Lun­di, j’avale un som­nifère. Du pont de bateau, j’assiste aux pré­parat­ifs d’une bande de vam­pires prêt à con­duire une attaque. Hier, j’avale le même som­nifère et fais le même rêve, mais d’un point de vue dif­férent : une maquilleuse me grime de noir en exposant mon vis­age au pot d’échappement d’une moto puis me bar­bouille de cica­tri­ces. Elle m’ordonne alors de rejoin­dre les vam­pires du quai.