Dans un endroit tel que celui-ci, on peut mourir. Aucun homme moderne ne souhaiterait y vivre: c’est tout l’intérêt. Un feu brûle, la pluie tombe, la pierre ruisselle. Le vin tiré est rouge, les pêchers odorants. Mais surtout, qu’on ne rapatrie pas mon corps en Suisse. Et s’il pouvait y avoir dans les prés des animaux forts et distraits, sangliers, taureaux, à mi-chemin entre la vie et la vie minérale…