Amusant de pouvoir acheter sans compter. Mais le plaisir de la consommation ne m’ayant jamais sollicité au-delà du raisonnable, je n’ai pas de frustration à compenser. En revanche, de savoir que même pour la classe moyenne l’accès aux biens nécessaires (comme c’est le cas en Suisse) implique un surcroît de travail, me porte sur les nerfs.