Quo vadis?

Il fut aus­sitôt vis­i­ble que, mal­gré son afflic­tion et la lec­ture assidue des épîtres de Paul de Tarse, la jeune Grecque avait gardé beau­coup de l’an­ci­enne âme hel­lène, qui, par-dessus tout, vénère la beauté du corps.
Quo vadis? Hen­ryk Sienkiewicz.