Perturbations liées aux courriers mails que j’écris, jusqu’à trente et quarante par jour, retrouvant mes interlocuteurs autour d’un verre, et cela encore plus s’ils habitent dans un autre pays et que je ne les rencontre que de temps à autre, car alors notre relation est d’abord épistolaire ensuite réelle; ainsi, j’entame un sujet et ce faisant, je me demande si je ne m’en suis pas déjà ouvert à eux. Bientôt pris de doute, je demande:
- … vous en ai-je déjà parlé?
Rassuré quand l’autre dit “non”, mais inquiet d’être incapable de trancher seul.