Autre théorie de l’enfer 2

Je demeure sur le lieu de ma mort, dans la posi­tion qui était la mienne lorsque le cœur a cessé de bat­tre et autour de moi, ceux qui sont en vie con­tin­u­ent de vivre, sans se douter de ma présence. Ils me marchent dessus, ils passent à tra­vers mon corps, ils utilisent mon espace, et cela indéfiniment.