Adieux

Ce matin, je retourne sur le con­ti­nent. Pierre-Yves est sur le pon­ton avec l’Alle­mande. Il m’aide, me tend mon sac (qui pèse comme au pre­mier jour, un kilo) et avec une générosité touchante, me fait des signes jusqu’au moment où le bateau ayant manœu­vré pour plac­er la poupe en direc­tion, se met en mouvement.