Je nage dans l’eau calme. Le canoë avance seul. Il fait presque trente degrés. Les oiseaux chantent. Par endroits, le sable me racle le ventre. Je me lève, cherche un couloir d’eau, plonge. Mais nager est dangereux. La tête risque de buter à chaque instant contre une pierre. Le canoë est la solution de la rivière, pas la natation.