Ludwig Hohl. Toujours, j’ai voulu savoir où il habitait, dans quel cave du quartier de La Jonction, puisqu’on dit que c’est une cave. Il suffirait de demander. Or, c’est parce que je crois le savoir, que je ne demande pas. Chaque fois que me vient son nom, je vois un soupirail grillagé et petit au-dessus du trottoir qui borde rue David-Dufour l’immeuble squatté où j’ai passé une nuit à la veille d’un examen de philosophie.