Dix heures du soir, fin de l’entraînement de Krav Maga. Réunis sur une terrasse de Kebap, en pull, en veste, nous sommes quelques uns à manger et boire. La rue de l’Hôpital est déserte, passent des voitures. Je discute avec B. Or, au moindre bruit, au plus petit mouvement, il se retourne, scrute, analyse, ne reprend l’écoute que rassuré.