Quand on a ni femme ni métier, le temps est disponible pour l’effort réel qui chez l’homme consiste à se pencher sur soi pour établir une géographie de l’existence. Ce n’est pas ce que je me souhaite mais c’est ce que je fais. Je m’achemine à travers sens et signes tout en reconnaissant que c’est un grand malheur puisque je ne fais que répéter le geste dérisoire de ceux qui ne se contentent pas du quotidien et, à la fin, ne trouveront rien de mieux.