Je comprends que l’on boive, se drogue, se jette en bas les falaises, que l’on fasse des acrobaties en avion ou nage dans la tempête. Je comprends aussi que l’on ferme les yeux, se retire, puise dans la solitude, cultive la sagesse. Mais que l’on vive selon l’horloge les étapes obligées avec cette idée que le vieillissement régulier du corps et de l’âme, hors toute rencontre hasardeuse, forment le seul devoir de l’homme, voilà qui m’échappe.