Une partie non-négligeable de la dérive anti-démocratique est imputable au maintien sur le long terme des fonctionnaires dans leurs postes. Pour une bonne administration de la liberté, ceux-ci devrait être démis de manière régulière (mais annoncée pour éviter d’encourager la corruption). On procéderait ensuite à une mise à plat des structures, hiérarchies et rouages, on briserait les liens de puissance, puis on lèverait un nouveau contingent de fonctionnaires.