La jalousie est un malheur. L’autre est ce que je ne suis pas. Que je le regarde et le fiel coule dans mon corps, pourrit mes moelles. A la longue, l’état devient chronique. Mes volontés se noient. Je deviens un être impersonnel, aliéné. Ici n’a de valeur que l’anarchie. Peu importe les autres. Qu’ils aillent dans leur direction et n’interrompent pas la mienne.