Andrew Eldritch

First, Last and Always des Sis­ters of Mer­cy, album que je n’avais pas enten­du depuis l’an­née de sa sor­tie, en 1984. Som­bre, froid, précurseur du goth­ique, mais pas dés­espéré. Le sen­ti­ment que c’est encore un jeu, une pose. Dix ans plus tard, l’as­phyx­ie est réelle. May­hem ne vit pas, il survit. Seth Put­nam ne joue pas, il meurt.