First, Last and Always des Sisters of Mercy, album que je n’avais pas entendu depuis l’année de sa sortie, en 1984. Sombre, froid, précurseur du gothique, mais pas désespéré. Le sentiment que c’est encore un jeu, une pose. Dix ans plus tard, l’asphyxie est réelle. Mayhem ne vit pas, il survit. Seth Putnam ne joue pas, il meurt.