Lorsque je dis, il y a trop d’argent, je passe pour un provocateur. Si seulement, me dit-on. Mais mettre en avant son cas n’infirme pas le constat. En général, il est indéniable. Il suffit de considérer l’état de corruption des institutions et des dirigeants pour s’apercevoir que si la minorité qui produit des richesses génère assez d’argent pour faire vivre tout le monde, c’est qu’il y en a trop. Ainsi, je suis plus que jamais, partisan du travail obligatoire — s’entend, du travail productif, pas du travail rémunéré par l’impôt.