Voyages

En trois voy­ages, je monte cent kilos de matériel. Lorsque je retourne rem­plir le bidon à la fontaine de l’al­page, les oies ont mangé la housse de ma chaise. Sur le bord du sen­tier qui mène au bivouac j’a­ban­donne le mate­las gon­flable, des boîtes de con­serve, les haltères, le pét­role et un mot: das nehme ich Mor­gen.