Accepter ce qui était hier inacceptable? Est-ce un progrès? Qu’entend-t-on par là? Ce qui est n’était pas, ce qui fut n’est plus. Parle-t-on de qualité? Mais alors? De quoi parle-t-on? Savoir ses valeurs et savoir les amender pour justifier de celles qui les remplacent. Ajoutons: s’il y a lieu. Mais cet examen se produit-il? N’a-t-on pas affaire plutôt à de la veulerie? Prendre la fuite du temps pour indice suffisant d’une amélioration, le moderne étant par définition plus juste, ne revient-il pas à démettre l’esprit pour légitimer ce qui souvent n’est qu’imposture?