Domeren

J’ai beau avoir de la pluie, du vent, de la neige, être froid, être seul, sans diver­tisse­ment, sans lec­ture, ne manger que des pâtes, du pain noir et pass­er l’essen­tiel de mon temps à fix­er une toile de tente bleue, je ne suis pas pressé de ren­tr­er. Cette agi­ta­tion des villes est si désolante qu’il faut par­fois inven­ter des défis pour se racheter.