Je me demande

Je me demande si les obses­sions du père, d’abord rejetées, rejetées parce que con­nues à l’en­vi, comme autant d’ex­pres­sions assom­mantes du pou­voir, ne devi­en­nent pas, à mi-course, je veux dire à l’âge mûr, une posi­tion reprise sim­ple­ment parce que, une fois jaugé par réflex­ion tout ce qui est don­né et dit, par­mi les posi­tions figées, ces obses­sions  n’ap­pa­rais­sent pas plus absur­des que les autres et plus avant, au moment du choix, en rai­son d’une cer­taine  famil­iar­ité musi­cale, pren­nent le pas sur leurs concurrentes.