Malgré

Mal­gré ses for­mules auda­cieuses, son élé­gance de style et son génie des titres, je n’ai pour Cio­ran aucune admi­ra­tion. La fas­ci­na­tion pro­duite sur le lecteur, et d’abord sur les jeunes lecteurs (dont j’é­tais), tient lieu de pro­fondeur, mais surtout, s’établir dans le pes­simisme pour s’as­sur­er un fonds de com­merce accule au cynisme, qui est atti­tude d’apparat.